Lima

Avec ses 9 000 000 d’habitants (13 avec ses banlieues informelles), la capitale regroupe quasiment la moitié de la population péruvienne ! Sa superficie de 2 600 km² en fait la ville la plus étendue au monde sur un désert, devant Le Caire.

Nous ne souhaitons pas nous éterniser à « Lima la grise » surnommée ainsi en raison du brouillard qui y sévit une grande partie de l’année et de la pollution qui en découle...

 

4 - 7 novembre 2018

La circulation en ville est assez problématique. C’est l’anarchie complète. Les péruviens sont des adeptes du klaxon. C’est à celui qui conduira le plus mal et en plus, de façon agressive... La vigilance est de mise une fois de plus...

La première journée est consacrée à la « visite » de la concession Land Rover. Nous récupérons les deux filtres à huile que nous avons commandés il y a une quinzaine de jours. Nous en profitons pour acheter sept litres d’huile de synthèse Castrol en prévision de la vidange à effectuer dans quelques milliers de kilomètres... et enfin Eric, aidé par un gars du garage, resserre les rétroviseurs branlants depuis quelques jours maintenant. Il ne manquerait plus qu’on les perde sur la panaméricaine ! 😬 

Super accueil les gars ! 👍

Nous commençons par le centre-ville historique et sa très verdoyante et fleurie place d’armes.

C’est ici même que Pizzaro a fondé Lima en 1535.

 

 

 

La présence policière est impressionnante. Il faut dire que cette très belle place concentre, comme souvent, les marques du pouvoir politique et religieux (la mairie, le siège du gouvernement et la cathédrale). Les trois édifices ont été érigés sur des ruines incas.

A midi, nous nous mêlons à la foule agglutinée contre la grille pour assister aux fastes de la relève de la garde 💂‍♂️ devant le palais du gouverneur appelée aussi « maison de... Pizarro ». C’est ici que réside le président du Pérou. 

L’ambiance est bon enfant. Les badauds se déhanchent sur les morceaux joués par la fanfare.

Les immeubles qui bordent la place rivalisent en balcons de bois taillé.

Barranco, le quartier bohème de Lima mérite le détour pour son Street Art. On passe l’après-midi à flâner dans les ruelles à la recherche des œuvres colorées peintes sur les murs.

 

 

 

 

 

C’est dans un petit resto sans prétention que nous finissons la soirée. Les raviolis aux épinards sauce champignons et le ceviche (spécialité du Pérou à base de poissons crus) sont délicieux !

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Commentaires: 4
  • #1

    odile et christian (jeudi, 15 novembre 2018 14:24)

    bon appétit bises

  • #2

    Nous deux (jeudi, 15 novembre 2018 15:38)

    Merci.... on a apprécié ce petit restau.... ça nous changeait de l’eternel menu: soupe riz poulet.... lol � à tous les deux

  • #3

    Jluc (jeudi, 15 novembre 2018 20:05)

    Gros bisous bretons à vous deux.
    On sent la nostalgie de la relève de la garde avenue de Lodéve �
    Bonne suite ......JlJ

  • #4

    Nous deux (jeudi, 15 novembre 2018 23:33)

    Tu ne crois pas si bien dire.... même si parfois on rouspetait pour les prises d’arme c’etait un honneur d’etre la et d’entendre la marseillaise qui nous donnait la chair de poule... et qui nous la donne encore...
    Bisous à tous les deux